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Périphériques

Les périphériques, des moniteurs aux claviers en passant par les dispositifs de stockage, jouent un rôle crucial dans l’optimisation de l’expérience utilisateur.

Examinez les dernières innovations et les meilleurs produits sur le marché avec nos critiques et comparatifs. Que vous soyez à la recherche de l’ergonomie ou de la performance, nos recommandations vous guideront dans vos choix.

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DJI Osmo Pocket 4 : la petite caméra de poche prépare une très grande évolution

DJI Osmo Pocket 4 : la petite caméra de poche prépare une très grande évolution

Double capteur, meilleure autonomie et design affiné : DJI semble prêt à redéfinir son format le plus compact. La famille Osmo Pocket s’est toujours distinguée par une philosophie simple : tenir dans la main ce qu’un setup caméra + gimbal ne peut pas offrir sans encombrement.

Mais si l’on en croit les dernières fuites, DJI s’apprête à hausser sérieusement le niveau avec la Osmo Pocket 4.

Un tournant majeur : l’arrivée du double capteur

Jusqu’ici, la gamme Osmo Pocket se reposait sur un unique capteur de haute qualité — notamment le 1 pouce de la Osmo Pocket 3. La Osmo Pocket 4, elle, franchirait une nouvelle étape : un système bi-capteur, une première pour le modèle.

Ainsi, on retrouverait un capteur principal de 1 pouce de 50 mégapixels, avec une ouverture variable. Il s’agirait potentiellement du même que celui du Osmo Action 6, une montée en gamme claire pour les plans cinéma, les scènes nocturnes et le contrôle de profondeur.

Ensuite, on retrouverait un second capteur de 1/1,3 pouce pensé pour le vertical, offrant un aspect plus carré, idéal pour les formats : TikTok, Instagram Reels ou encore les Shorts de YouTube.

En clair : DJI veut parler à la fois aux créateurs « cinéma » et aux créateurs « social-first ». Une stratégie redoutablement intelligente — et parfaitement dans l’air du temps.

Le mythe du double écran… qui n’en est pas vraiment un

Une précédente fuite laissait espérer un écran secondaire orienté selfie. Mais selon Photorabz, la dalle repérée ne serait finalement qu’un écran d’état offrant des informations pour la batterie, un accès aux paramètres rapides et des modes actifs.

Pas d’écran en façace façon Action Cam donc — mais un outil pratique pour le tournage. Raison de plus pour considérer la Pocket comme une caméra stabilisée, et non une action cam classique.

Une autonomie en hausse — enfin

L’un des rares reproches faits à la Osmo Pocket 3 devrait être corrigé. La Osmo Pocket 4 afficherait une autonomie en hausse de 20 %, sans modifier son encombrement.

On ignore encore la capacité finale, mais entre le double capteur et la stabilisation mécanique, DJI semble avoir travaillé sur une meilleure optimisation énergétique, des composants plus efficients et une batterie plus large, peut-être logée dans un châssis légèrement réagencé.

Une bonne nouvelle pour les vloggers qui enchaînent les sessions.

Une sortie en décembre… mais peut-être pas pour tout le monde

Le lancement est prévu en décembre 2025, selon les fuites. Mais, l’histoire se complique côté États-Unis : DJI fait face à un bannissement FCC programmé au 23 décembre, ce qui pourrait retarder la disponibilité, limiter les stocks, basculer certains marchés en 2026. Une situation explosive pour un produit aussi attendu.

Le marché ne jure plus que par le vertical, la mobilité extrême et la créativité instantanée. Dans ce contexte un double capteur, une meilleure autonomie, un design compact, et une stabilisation mécanique, forment une équation très séduisante face aux smartphones et aux petites action cams.

La Osmo Pocket 4 ne serait pas un bouleversement visuel, mais une refonte profonde là où ça compte : image, polyvalence, endurance.

 

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HMD prépare son tout premier laptop : un Chromebook 2-en-1 nommé HMD Book CS-1 Flip

HMD prépare son tout premier laptop : un Chromebook 2-en-1 nommé HMD Book CS-1 Flip

HMD, l’entreprise qui a repris l’activité mobile de Nokia avant de lancer ses propres smartphones sous la marque HMD, semble prête à entrer dans un nouveau segment inattendu : les ordinateurs portables.

Selon une fuite publiée sur X par @smashx_60, la société travaillerait sur son premier PC : le HMD (Chrome)Book CS-1 Flip, un Chromebook convertible équipé d’une charnière à 360° et d’un écran tactile — un format similaire aux gammes « Flip » bien connues d’ASUS ou aux Yoga de Lenovo.

Un vrai 2-en-1 façon Chromebook Flip

Le nom « Flip » indique clairement qu’il s’agit d’un appareil convertible pouvant être utilisé :

  • en mode laptop,
  • en mode tablette,
  • en mode tente ou chevalet pour la vidéo.

Ce serait un positionnement cohérent avec les efforts récents de HMD pour élargir son catalogue au-delà des téléphones : tablettes HMD, accessoires audio, services… mais c’est la première fois que la marque s’attaquerait au marché informatique sous son propre nom.

À noter : il y a bien eu des « Nokia PureBook », mais ils étaient fabriqués par un licencié tiers — pas par HMD directement. Cette fois, il s’agirait d’un produit entièrement HMD.

Quelques détails techniques… et beaucoup de zones d’ombre

La fuite mentionne un point important : le HMD CS-1 Flip serait équipé d’un processeur Intel. C’est notable, sachant que beaucoup de Chromebooks d’entrée de gamme utilisent aujourd’hui des puces ARM MediaTek (Kompanio), voire des SoC Snapdragon.

On ignore encore la taille de l’écran, le modèle exact du processeur Intel, la quantité de RAM, les configurations de stockage, la gamme de prix envisagée, et le public cible (éducation ? entrée de gamme ? milieu de gamme ?).

HMD devra aussi affronter un marché Chromebook très compétitif dominé par Acer, Asus, Lenovo ou encore Samsung, des marques bien implantées depuis des années.

Un lancement peut-être proche

Même si HMD n’a rien officialisé, un leak contenant un nom de produit complet laisse généralement penser que le développement est déjà bien avancé. Il est probable que d’autres informations fuitent bientôt — voire une annonce officielle dans les prochains mois.

Si confirmé, ce Chromebook marquerait la plus grande diversification de HMD depuis son virage vers une marque indépendante, après des années centrées sur Nokia.

 

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Raspberry Pi Imager 2.0 : la plus grande refonte de l’outil officiel depuis sa création

Raspberry Pi Imager 2.0 : la plus grande refonte de l’outil officiel depuis sa création

La Fondation Raspberry Pi vient de publier Raspberry Pi Imager 2.0, une mise à jour majeure qui revoit complètement l’outil utilisé pour installer un système d’exploitation sur une carte SD ou un SSD avant de démarrer un Raspberry Pi.

Selon l’équipe, cette version était en développement depuis plus d’un an. Et, ce n’est pas une simple mise à jour : l’interface et le fonctionnement entier du logiciel ont été repensés pour corriger les limites accumulées depuis cinq ans.

Une interface entièrement repensée

Le grand changement visible immédiatement : fini la fenêtre unique et ses menus cachés, place à un assistant clair en 4 étapes :

  1. Choisir le modèle de Raspberry Pi
  2. Choisir l’OS à installer
  3. Sélectionner la carte SD/clé USB/SSD
  4. Configurer entièrement le système avant le flash

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Cette approche rend l’usage plus logique, plus lisible, et beaucoup plus simple pour les débutants comme pour les utilisateurs avancés.

Une configuration système beaucoup plus puissante

L’étape 4 est la plus intéressante. En effet, Raspberry Pi Imager 2.0 propose désormais un panneau dédié pour définir avant écriture :

  • Compte utilisateur
  • Mot de passe
  • Wi-Fi
  • Paramètres régionaux (langue, clavier)
  • Options d’interface (SSH, etc.)

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C’est un énorme plus pour les configurations headless, où le Raspberry Pi démarre sans écran ni clavier. Avec Imager 2.0, le Pi est immédiatement accessible sur le réseau dès le premier boot.

Avant, cela demandait des manipulations complexes. Désormais, c’est intégré, simple et guidé.

Intégration native avec Raspberry Pi Connect

Grande nouveauté : Raspberry Pi Imager 2.0 permet de se connecter directement avec votre compte Raspberry Pi Connect. Résultat, vos identifiants Connect sont automatiquement inscrits dans l’image, votre Pi peut être piloté à distance immédiatement et aucun fichier SSH ou clé à ajouter manuellement

C’est une étape importante pour le remote management des Raspberry Pi.

Accessibilité améliorée

L’interface a été pensée pour être utilisable par tous :

  • Contrôles compatibles avec les lecteurs d’écran
  • Navigation entièrement possible au clavier
  • Nouveau thème Raspberry Red plus contrasté
  • Plus d’espace blanc pour améliorer la lisibilité

Une très bonne nouvelle pour les utilisateurs équipés de solutions d’accessibilité.

Finalement : une vraie version 2.0

Raspberry Pi Imager 2.0 clarifie un outil devenu trop chargé, automatise les manipulations complexes, facilite l’usage à distance, et modernise toute l’ergonomie.

C’est de loin la mise à jour la plus importante depuis la sortie de l’Imager original.

Disponible maintenant pour votre prochain flash.

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