fermer
Smartphones

Galaxy S26 : Samsung préparerait une hausse de prix… sans les bonus de précommande

Galaxy S26 : Samsung préparerait une hausse de prix… sans les bonus de précommande
Galaxy S26 : Samsung préparerait une hausse de prix… sans les bonus de précommande

Le prochain flagship de Samsung pourrait coûter plus cher, tout en offrant moins d’avantages au lancement. Selon le leaker @kro_roe, la série Galaxy S26 se dirigerait vers une augmentation tarifaire notable, accompagnée d’un abandon d’une pratique devenue quasi systématique : la double capacité de stockage offerte en précommande.

Une combinaison qui risque de faire grincer des dents.

Des Galaxy S26 plus chers, sans cadeaux

D’après ces informations, les futurs Galaxy S26 seraient proposés à un tarif sensiblement supérieur à celui de la génération actuelle. Plus problématique encore pour les acheteurs fidèles : Samsung envisagerait de supprimer l’offre de stockage doublé qui avait largement dopé les précommandes des Galaxy S24 et S25.

Concrètement, les acheteurs paieraient plus cher à l’entrée… tout en recevant moins de valeur ajoutée au moment de l’achat.

Une hausse partiellement compensée par le stockage ?

Tout n’est pas entièrement négatif. Les rumeurs suggèrent que le Galaxy S26 de base passerait directement à 256 Go de stockage, contre 128 Go pour le Galaxy S25, actuellement vendu 799,99 dollars. Si ce changement se confirme, une partie de la hausse de prix serait en réalité intégrée dans la configuration standard.

Reste que, même avec 256 Go de base, le prix de départ en précommande serait plus élevé, là où Samsung offrait auparavant un surclassement gratuit — un détail psychologique important pour les consommateurs.

Pour rappel, la gamme actuelle se positionne ainsi :

  • Galaxy S25 : 799,99 dollars
  • Galaxy S25 Plus : 999,99 dollars
  • Galaxy S25 Ultra : 1 299,99 dollars

La série S26 viendrait donc s’inscrire au-dessus de ces seuils.

Peu de nouveautés visibles pour justifier la hausse

Côté produit, Samsung resterait sur une évolution très incrémentale :

  • design légèrement rafraîchi,
  • améliorations matérielles mesurées,
  • selon les régions, un Qualcomm Snapdragon 8 Elite Gen 5 ou l’Exynos 2600 maison.

Le Galaxy S26 Ultra pourrait bénéficier d’une charge plus rapide, tandis que le modèle de base gagnerait un écran légèrement plus grand et une batterie renforcée. Des ajustements bienvenus, mais pas forcément révolutionnaires.

L’IA comme argument… encore fragile

Samsung miserait aussi sur une intégration plus profonde de son IA générative, avec des fonctionnalités exclusives fonctionnant en local. Sur le papier, c’est ambitieux. Dans la pratique, les fonctions IA sur smartphone peinent encore à devenir un moteur d’achat décisif.

À moins que Samsung ne parvienne à proposer des outils réellement utiles au quotidien, il sera difficile de convaincre les utilisateurs de payer plus cher pour ce qui ressemble, à première vue, à un Galaxy S25 affiné.

Samsung dos au mur en 2026

Selon les mêmes sources, Samsung aurait longtemps hésité avant de trancher sur le prix du Galaxy S26 — et rien ne serait encore totalement figé. Mais, la réalité industrielle s’impose : les coûts des composants explosent, notamment la mémoire, rendant les hausses de prix presque inévitables pour l’ensemble du marché premium en 2026.

Samsung se retrouve ainsi dans une position délicate : augmenter ses prix pour préserver ses marges, sans faire fuir une clientèle déjà sollicitée par des flagships toujours plus chers… et des alternatives de plus en plus crédibles.

Si ces rumeurs se confirment, le Galaxy S26 ne sera pas seulement jugé sur sa fiche technique, mais sur une question simple : offre-t-il encore suffisamment de valeur pour justifier son nouveau prix ?

La réponse, cette fois, ne pourra pas se contenter d’un simple bonus de stockage.

Tags : Galaxy S26Samsung
Yohann Poiron

The author Yohann Poiron

J’ai fondé le BlogNT en 2010. Autodidacte en matière de développement de sites en PHP, j’ai toujours poussé ma curiosité sur les sujets et les actualités du Web. Je suis actuellement engagé en tant qu’architecte interopérabilité.