Google a promis que ses lunettes connectées, également connues sous le nom de Google Glass, allaient être mises à niveau dans un futur proche. Et, une nouvelle offre d’emploi suggère qu’elles pourraient faire leur retour plus tôt que plus tard. La société est à la recherche d’un ingénieur industriel dans la division Google Glass ayant pour mission l’assemblage final, les tests ainsi que l’emballage du produit (“Final Assembly, Test and Pack”).
En d’autres termes, le travail consiste à nouveau à pousser les Glass au grand public. Cette offre suggère que la version 2.0 des Glass se trouve être dans la dernière ligne droite, mais il est difficile de prédire quand exactement ce nouveau modèle va apparaître sur le nez des consommateurs – la première génération des lunettes a été retirée de la vente publique en janvier de cette année.
Business Insider a repéré cette offre, qui a été mise en ligne il y a quelques jours.
Devenir un Googler
Si vous êtes intéressé pour ce poste, alors vous allez avoir besoin d’au moins un diplôme en génie mécanique ou en génie électrique, ainsi que cinq ans d’expérience dans un rôle approprié. Google veut également quelqu’un qui a de l’expérience dans le secteur de la consommation, pour superviser la ré-émergence des Glass.
Quiconque assurera ce rôle devra assurer la liaison avec les fabricants et les fournisseurs, “afin de répondre à une production de masse”, et devra “travailler avec l’équipe qualité et de fiabilité pour définir les exigences de la mise en vente”. Cela ressemble beaucoup au fait que Google travaille au lancement à la deuxième génération des Google Glass, bien qu’il n’y ait rien d’officiel.
Avec un dispositif désormais sous la supervision de Tony Fadell de Nest, qui a déjà travaillé sur l’iPod d’Apple, la prochaine version des Glass pourrait être très élégante.
Cela risque d’être une année essentielle pour les lunettes connectées de Google, également confrontées à un nombre croissant de concurrents, avec des produits de Sony et Epson qui sont arrivés sur le marché en 2014.
