Alors qu’en ce début de semaine nous avons célébrer les dix ans du réseau social, tout en apportant un outil apprécié par certains, et détesté par d’autres, ce qu’elle a nommé “Look Back”, permettant à ses millions d’utilisateurs de pouvoir disposer d’une rétrospective de leur interaction avec le géant social bleu, nous avons appris que Facebook allait prochainement vous donner la possibilité de modifier votre vidéo “Look Back” générée automatiquement.
Presque immédiatement après son lancement, de nombreux utilisateurs se plaignaient des photos que Facebook avait auto-sélectionnées, peut-être parce qu’il y avait trop de souvenir douloureux, ou encore trop de photos de leurs ex…
Mais alors que l’on ne s’attendait pas à un lancement si rapide, voici que le bouton “Modifier” vient de faire son apparition sur l’outil de rétrospective de Facebook.
L’éditeur peut ne pas être tout à fait aussi riche en fonctionnalités que certains l’auraient espéré, vous ne pouvez pas choisir n’importe quelle photo Facebook pour remplacer celles que vous n’aimez pas par exemple, mais vous pouvez au moins choisir parmi un plus large éventail de photos permettant de supprimer les photos indésirables.
Pour modifier votre rétrospective le principe est très simple :
- Aller sur la page Facebook Lookback
- Cliquez sur le bouton “Modifier”
- Choisissez vos nouvelles photos/messages à partir des présélections. Des flèches vous permettent de défiler sur les éléments de droite à gauche
En automatisant la création de vidéo et en développant une interface utilisateur pour faire des réglages, on aurait pu penser que la firme irait beaucoup plus loin en offrant un outil qui permettrait à ses utilisateurs de créer un film personnalisé, et ce sans avoir recours à une présélection de la part du réseau. Alors que l’outil d’édition est bien là, celui-ci n’est pas encore assez poussé pour être générique.
Difficile de dire si la fonctionnalité d’édition a été lancée à tous les utilisateurs, ou si elle est en cours de déploiement. Cependant, sur les divers comptes de mon entourage, tout le monde y avait accès.
